Chapitre 1 Une gazelle galopait dans la forêt. Elle s’arrêtât dans un champ pour brouter. Soudain elle leva la tête. Elle avait peur d'un danger invisible . Tout à coup une flèche jaillit des fourrés,mais la gazelle n'eut pas le temps de l'apercevoir, et la flèche s' enfonçât dans une de ses pattes avants. La gazelle surprise se mit à courir mais une deuxième flèche s’enfonçât dans une de ses pattes arrières. Elle s'écroula . Une ombre sorti de la forêt et s'approcha de la gazelle. Arrivé au dessus de la bête, l'ombre décocha une flèche qui allât directement se planter dans le cou de la gazelle. Puis l'ombre ramassa ses flèches et les mis dans son carquois. Ensuite elle prit la bête et la transporta jusqu’à son campement. * Son campement était assez grand. C'était une petite clairière entouré d'arbre. Tout au bout il y avait un grand chêne. Sur cet arbre avait été construit une cabane. Une mini terrasse en bois avait été installer en hauteur juste devant la cabane. Des barrière avait été installer sur les deux cotés. Une autre, moins grande, avait été mis devant, laissant un espace pour pouvoir monter et descendre l'escalier en bois. En bas il y avait des galets qui formait un rond ou au milieux était disposer le bois pour faire du feu. A l'est il y avait un potager entouré de barrière en bois. A l'ouest on entendait de l'eau coulée. Une jeune fille blonde avec des yeux bleus sortit de la cabane, descendit l'escalier et regarda la gazelle : « Amélie ! Tu a tiré dans le cou ! On avait dit que tu ne tirait pas dans le cou parce que ça fait des trous ! -Pff. De 1, je ne voit pas comment je peut la tuer sans viser dans le cou. De 2, mes flèches sont très fine donc je ne fait pas de trou. Et de 3, je ne vois pas ce que ça fait qu'il y ai des trous ou pas. -C'est sur que c'est pas toi qui fait la cuisine! s'exclama la jeune fille. -Tu veux que je le fasse à ta place ? demanda Amélie. -Oui, je veux bien! répondit la jeune fille. -Tu sais très bien que je ne peux pas Roxi!De nous quatre c'est moi la meilleure chasseuse!C'est moi la meilleure tireuse! -Ça va, ne te vante pas ! -Je ne me vante pas ! s'exclama Amélie. -Et Lorenzo. Et Flora. Tu crois pas qu'il pourrait la faire, la cuisine ? -Flora n'a que 9 ans. Et Laurenzo préfère passer sa journée dans un arbre. -Ils pourrait apprendre. Et puis moi je faisais déjà la cuisine a 9 ans. -Laurenzo préférerait mourir plutôt que de faire la cuisine, tu sais bien que ça l'énerve. Quand a Flora... toi c'était pas pareil : je m'occupait de vous et j'avais besoin d'aide. -Tu a toujours des excuse. -Bon je vais décortiquer la bête. C'est ça,répondit Roxi, va décortiquer ta gazelle. -Laurenzo, appela Amélie Un garçon débrouillard sorti de la cabane. Il avait les cheveux blond châtain coupé au carré et ébouriffer avec des yeux bleu marine. -Quoi ? demanda t-il. -Viens m'aider a décortiquer. -OK, j'arrive. » Laurenzo descendit de la cabane tandis qu'Amélie installait la gazelle devant une bûche sur laquelle elle s'assied. Et elle se mit a décortiquer la bête. * Décortiquer, c'était difficile pour ceux qui ne savent pas se concentré et qui n'ont pas de patience. Il fallait d'abord ouvrir le ventre de la bête. Amélie coupa un morceau du foie qu'elle garda pour manger. Le reste, elle le trancha pour le mettre a sécher. Puis, elle dépeça la carcasse. Elle nettoya la peau avec son grattoir en bois de chêne. Elle lava l'intérieur avec de l'eau afin d'en ôter les poils. Ensuite elle l'étendit en hauteur entre deux chêne. Puis Amélie gratta les poils encore accroché à la peau. Laurenzo écrasa la cervelle de la gazelle, après quoi Amélie assouplie le cuir en l'en imprégnant. Ils leurs fallut, ensuite, mettre à tremper la peau, puis la sécher. Et au final, ils pourront se faire des habits en cuir (même si Roxi préfère faire les siens avec la nature) et tressé des lignes de pêches (que Flora cassait, le plus souvent). Puis, ils coupèrent la viande en fine tranche. Ils la suspendirent au dessus d'un feu. Puis lorsque les lambeaux furent sec, ils les placèrent entre trois piles de galets afin de les aplatir, avant de les roulé très serré. Cela leur donna faim, mais ils devaient d'abord laver les entrailles et les plongées dans l'eau, avant de les accrochées à un jeune arbre. Ils firent ensuite de l'estomac une gourde pour Flora qui buvait toujours de l'eau des rivières. La vessie ferait une bourse pour Roxi qui avait usée la sienne. Les intestins servirait de protection aux légume de Flora. Ils coupèrent chaque poumon en deux. Puis ils les donnèrent a Roxi. Elle avait sa recette secrète pour que ce soit délicieux. Les sabots, ils les donnèrent à Flora, qui s'en fabriquerait des jeux pour l’eau. Puis Amélie s’occupa des long nerfs dorsaux. Elle les aplatis, puis démêla les fibres étroites, avant d'en faire des fils. Elle les séchas ensuite, puis les frottas avec de la mousse pour les assouplies. Le tendon de la patte servirait à l'arc d'Amélie. Enfin Laurenzo et elle s'occupèrent de la ramure. Ils la nettoyèrent puis la lièrent. Ils pourront tailler des aiguilles pour coudre. * Amélie était assit devant le feu, le repas avait été succulent, comme d'habitude. Il faisait nuit et l'on voyait les étoiles. Parfois, Amélie se demandait comment cet espace infini avait pu se crée. Comment était t-il né ? Combien de temps avait fallu pour arriver jusqu'à aujourd'hui ? Sûrement des milliards et des milliards d'années. Flora avait été se coucher directement après manger. En même temps, on peut la comprendre, elle avait nagé dans le lac toute la journée. Roxi et son frère sont monter quelque temps après. Seul Amélie est resté. Elle laissa Laurenzo s'approcher d'elle avant de lui parler. « Toujours dans tes pensées ? lança t-il, tu ne m'a pas entendu venir cette fois. -Si. Mais il ne vaut mieux pas réveiller les filles. -Oui,tu à raison. Au fait c'est toujours pas la paix entre toi et Roxi. -Elle grandit et se rebelle, déclare Amélie. -Faux ! C'est toi la rebelle et je ne voudrait pas t'énerver mais, quand tu pique une colère c'est pire que Roxi. C'est un orage avec des éclair. On est obliger de se cacher dans la forêt en attendant que tu te calme. -Merci de ta compréhension. -C'est vrai ! -Cela dit... -Quoi -...Roxi me met a bout de nerf. Tout à l'heure j'ai changé de sujet parce que je savais que j’allais exploser. Si ça avait continuer...je sais pas...je peut être dangereuse. Une fois, j'ai piqué une colère et je suis partit dans la forêt. J'ai tué un jeune faon. Je ne me suis rendu compte de la catastrophe qu'après. Hier, j'ai eu envie de dégainer mon arc et mes flèche; elle m'avait poussé a bout. -T'inquiète, tu l'a dit toi-même:elle grandit. Elle veut se faire entendre, c'est normal a son age. -Laurenzo... -Oui ? -Tu n'a que 10 ans et tu parle déjà comme un adulte. -Bah, je grandit. -Pff ! -Tu vient dormir -j'arrive
Chapitre 2 Amélie se promenait dans la forêt. Ou plutôt, elle chassait. Elle est brune avec des yeux marrons. Elle a des cheveux qui s'arrête aux épaules avec une frange devant. Sur le coté droit, une partie de ses cheveux sont rouge. Elle adorait la forêt ;ses odeur,sa verdure. Plus particulièrement la nature de cette forêt:ses arbres était si vieux et en même temps si sage. On pouvait compter sur eux pour se protéger. Laurenzo adorait monter aux arbres. On avait l'impression qu'il était leurs enfant. Mais ses sœur savait que c'est parce qu'il sentait le vent souffler, parce qu'il adorait la hauteur, toucher le ciel. Et surtout, c'est parce que même en restant en haut d'un arbre, il avait l'impression de voler avec Griffti, son aigle royal. Il l'avait depuis qu'il avait 4 ans. Souvent, Griffti emmenait Laurenzo, la-haut, dans le ciel. Souvent,il lâchait Laurenzo sous les yeux ébahi de ses sœurs, pour le rattraper après, en plein vol. Laurenzo était habitué à être lâché par Griffti pour être rattraper ensuite. Et il avait compris comment faire pour ne pas tomber en piqué : il écartait les mains et les jambes. Griffti était méfiant d'Amélie et ses sœurs avant. Il les craignais. Mais avec le temps, il avait appris a les connaître. Mais il ne se faisait touché que par Laurenzo. Un bruit mis, soudain,fin aux pensées d'Amélie. Cette dernière se stoppa net. Quelque chose la surveillait. Elle le sentait. Elle prit son arc et son carquois et encocha une flèche. Elle s'approcha d'un buisson, le fouilla et découvrit...un jeune louveteau. Il avait à peine un mois. Elle regarda autour d'elle mais elle ne vit personne. Pas de louve ni de adulte. Soudain le louveteau se mit à gémir. Il avait faim. Amélie le regarda attentivement. Il était gris avec quelque poil blanc. Il avait des yeux gris. Des yeux qui regardait Amélie fasciné et en même temps apeuré. Il gémissait, mais aucun loup ne venait. Il était affamé, a son ventre on voyait qu'il n'avait pas (beaucoup) mangé depuis quelque jours. C'était un orphelin. Elle en était sûr. Elle s'accroupit et tendit la main. Le louveteau, méfiant, recula. Il la regarda, s'approcha, la renifla. Puis, doucement, passa sous la main de la jeune fille qui se mit à le caresser, tandis que le louveteau s'allongeait. Puis Amélie essaya de le prendre dans ses bras, mais le louveteau refusa. Amélie le caressa et se leva. Puis elle fit quelque pas, avant de se retourner. Le louveteau restait là, a la regarder. Elle revint vers lui, se pencha et lui montra le sentier. " Il faut que tu me suive, lui dit-elle, que tu vienne avec moi. » Mais elle savait que ça ne servait à rien de lui parler car il ne comprenait pas sa langue. Alors elle se leva, fit quelque pas et se retourna. Ensuite, elle s'accroupit et tendit la main. Le louveteau la regarda, s'approcha un peu, s'arrêta et s'assied. Puis il se rapprocha et toucha la main d'Amélie. Ensuite, cette dernière se releva, fit encore quelque pas, se retourna, tendit la main et attendit que le louveteau s'approche. Puis elle recommença le manège plusieurs fois. Jusqu’à ce qu'elle aperçoive un buisson remplie de baie. Amélie se mit à en cueillir plusieurs, puis elle s'approcha du louveteau et tendit sa main remplie de baie. Le louveteau hésita avant d'en goûter une. Il trouva cela délicieux. Il se mit à manger toute les baies dans la main d'Amélie. Cette dernière se releva ensuite pour en cueillir d'autre et, sous les yeux du louveteau, les mit dans sa bourse. Elle l'agita ensuite. Le louveteau se mit à courir vers elle pour manger les baies qui se trouvait dedans. Mais Amélie se garda bien de les lui donner. Elle se remit a marché, tout en agitant la bourse. Et le louveteau, grâce à ça, la suivit. Amélie allait le ramener à son campement et s'occuper de lui. Mais il y avait autre chose, elle avait l'impression qu'il y avait quelque chose entre elle et ce louveteau. Mais elle ne savait pas quoi. * elle arriva à son campement, il était tard. Roxi faisait la cuisine. Elle avait mit son Hit-band. C'est une longue tige sur laquelle elle a mit, à espace régulier, plusieurs marguerite. Elle en avait plusieurs et en portait toujours, même la nuit. Elle portait souvent le même et en changeait lorsque celui qu'elle portait se cassait où était perdu . Elle était toute seule. " Ou sont les autre ? lui demanda Amélie. -Flora a voulut faire une balade, alors j'ai demandé à Laurenzo de la suivre. -Ah, OK. Amélie allait lui demander ce qu'elle cuisinait lorsqu'un cri déchirant de fit. Amélie se retourna, tandis que Roxi tourna la tête. Flora se tenait devant elles, affolé. Laurenzo émergea des buissons. -Ça va Flora ? Qu'est ce qui se passe ? -Là, gémit elle, le...le monstre. Elle pointa du doigt un buisson d'où émergeait...deux petite oreille grise. Le louveteau qui était resté à l'arrière a leur arrivé, s'était réfugié dans le buisson quand Flora a crié. -Ce n'est pas un monstre, déclara Amélie en s'approchant du buisson. Elle sortit sa bourse remplie de baie et l'agita. Le louveteau hésita, longtemps, longtemps. Et puis finalement, il s’avançât, la faim prenant sur la peur. Il alla jusqu'à Amélie. -C'est un innocent louveteau. Je l'ai rencontré dans la forêt. -Et tu compte en faire quoi ? demanda Roxi. -M'en occuper, répondit Amélie. -Pardon ? Et depuis quand j'accepterais un loup dans mon campement ! -Ce n'est pas un loup, mais un louveteau. -C'est pareil. Quand il seras grand, que crois tu qu'il fera ? -Il nous seras reconnaissant de s'être occupé de lui et il s'attaquera nos ennemis. -Heuuuuu... fit Laurenzo. -Quoi ? demanda Amélie excédé. -Tu est sûre qu'il est inoffensif ? demanda Flora d'une toute petite voix. -Oui, assura Amélie. -Quoi qu'il en soit, je n'accepterai pas ce loup chez moi, déclara Roxi. -Oh ! C'est moi l’aîné, c'est moi qui commande ici ! Et je déclare que ce louveteau vivra avec nous. -Quoi ? -Je pensais que tu adorait les animaux. Et puis, Laurenzo a un aigle, alors j'ai bien le droit d'avoir un loup. -Ce n'est pas pareil ! Laurenzo et Griffti ont un lien. » « Et moi j'ai l'impression d'avoir un rapport avec ce louveteau »pensa Amélie. Mais elle n'en était pas persuadé. -A partir de maintenant,déclara t-elle, ce louveteau vivra avec nous. » Roxi parti dans la cabane, en colère. Elle faillit l’explosé quand elle claqua la porte. Amélie se retint de lui faire un sermon, mais cela n'aurait fait qu'aggravé la situation car Roxi aurait été encore plus en colère contre elle. Amélie se retint donc, et elle fit cuir le reste de viande d'hier. Soudain, le louveteau se mit a japper, à tourner en rond. Puis il se mit sur ses deux patte arrière et sauta. Amélie lui donna un morceau de viande. Soudain, elle réalisa qu'elle avait compris ce que le louveteau disait. Elle le regarda. Alors elle comprend ce louveteau. Comme Laurenzo comprenait Griffti. Elle s'allongea et s'endormit. * Amélie était dans la Forêt. Il faisait sombre. Amélie entendait des bruit qui se produisait à des kilomètre. Snow marchait à ses cotés. Soudain la forêt disparu et tout devint noir. Amélie se demanda si elle était en enfer. Tout à coup, elle se mit à disparaître elle aussi. Elle regarda Snow mais lui aussi disparaît. Juste avant qu'elle ne disparaissent entièrement, Amélie entendit une voix : « Tu es l'élue ! » Chapitre 3 Cela faisait une semaine que Snow, son louveteau, était arrivé. Comme cela faisait une semaine qu'elle avait fait son rêve. Elle avait longtemps chercher sa signification. Il y avait des choses qu'elle avait moyennement comprise. Par exemple, elle a toujours eu une ouïe plus fine que les autres. Pareil dans son rêve. Par ailleurs, elle avait rencontré Snow le jour de son rêve. Drôle de coïncidence. Et pourquoi serait elle l'élue ? Voilà ses pensées après son rêve. Puis, elle s'était dit: Roxi peut parler aux animaux, mais seule elle peut le faire. Seulement 3 sorte d'animaux ne peut pas communiquer avec elle : les loups, les oiseaux et les poissons. Laurenzo, justement, peut parler aux oiseaux et a un lien avec un aigle. Flora, elle, peut parler aux poissons et a un contact avec l'eau:elle peut rester longtemps sous l'eau sans en sortir la tête. Elle peut aussi, chose surprenante, prédire le temps. Amélie, enfin, peut parler au loup et a une ouïe fine. Elle avait aussi un lien avec Snow. Elle n'avait pas parler de son rêve a son frère et ses sœur car elle ne savait pas ce qu'il signifiait. * Amélie faisait la nourriture avec Snow. Flora ramassait des légume. Laurenzo jouait avec Griffti et Roxi était allé inspecté la forêt. Snow se mit à japper. Amélie tourna la tête. Roxi revenait de sa balade nocturne. Plus haut dans le ciel, Laurenzo arrivait avec Griffti. « J'ai faim, déclara Roxi. -Moi aussi ! cria Laurenzo d'en haut. Son aigle le déposa à terre et alla se poser sur son épaule. -Justement. A table ! Flora arriva et s'assied avec son frère et ses sœurs autour du feu. -Alors, vous avez passez une bonne journ... Roxi fit un signe de la main à Amélie pour qu'elle se taise. -Qu'est ce qu'il y a ? demanda Amélie en chuchotant. -J'ai entendu du bruit, répondit Roxi. Amélie tendit l'oreille. Elle entendit distinctement. C'était des voix. -C'est moi Sonny, c'est moi le roi, du royaume, cette forêt, chantait une voix. -Pff ! Je suis fatigué ! fit une deuxième voix. -Comme nous tous, commenta une troisième. -Et si Sonny pouvait arrêter de chanter, ce serait encore mieux, fit la deuxième voix. -Vous inquiéter pas les gars, on arrive bientôt à un endroit où on pourras camper. Je le sens, encouragea une quatrième voix. -J'espère que ce que tu dis est vrai Théo, déclara la troisième voix, parce que je ne vais pas supporter Sonny longtemps. -Sans jamais dire où je vais, je veux faire ce qu'il me plaît ! -Mon dieu ! Je suis maudit ! » gémit la troisième voix. Amélie regarda son frère et ses sœurs. Soudain, des feuilles frémirent et des personnes émergèrent de la forêt. Amélie, son frère et ses sœurs se levèrent. Elle prit son arc, ses flèche et son carquois. Snow s’avançât et montra ses crocs. Griffti poussa des bruits aigu. Les trois sœur et leur frère s'approchèrent des nouveau venus. « Théo ! chuchota une voix. T'aurait pas pu nous dire que ce campement était habité ! -Je le savais pas ! répliqua Théo. Griffti poussa de petit cris. -Qu'est-ce qu'il y a ? demanda Roxi à Laurenzo. -Il dit qu'il n'y a que 10 garçons. -Qu'est-ce que vous faites ici? demanda Amélie au groupe de garçons. -Nous vous retournons la question, répondit l'un des garçons.
-Dans le cas présent, ce serait plutôt à vous de nous répondre » déclara Roxi. Amélie essaya de les voir mais elle n’arriva pas à distinguer leur visage. Par contre, elle arrivait à voir leurs mains, et elle voyait qu'un garçon tenait un lance-pierre. Tout à coup, elle se retourna et prit un garçon au dépourvu. Il se dirigeait vers leur campement(car Laurenzo, Amélie, Roxi et Flora s'était placé devant eux. Ils ne pouvait donc pas voir leur campement.) «Je peux t'aider? demanda ironiquement Amélie. -Heu...non, non, c'est bon, lui répondit le garçonavant de retourner parmi sa bande. Amélie retourna se poster devant eux, tandis que le garçon au lance-pierre serrait son arme encore plus fort. -Elle a pas intérêt à nous embêter encore longtemps ! chuchota t-il. -Sinon quoi ? demanda Amélie à voix haute. Tu vas me manger ? Le garçon, surpris,se tut et continua à serrer son lance-pierre. -Nous vous avons posé une question, déclara Amélie au groupe de garçon. Que faites vous ici La tension montait. Un garçon ouvrit la bouche pour répliquer, mais un autre lui ordonna de se taire. -Nous cherchons un campement pour dormir, déclara l'un d'eux. -Hé bien allez cherchez ailleurs ! répondit Roxi, et elle se dirigea vers la cabane. Amélie allait dire la même chose, lorsqu'une pensée lui traversa l'esprit. Ils n'avait jamais vu personne et que de la forêt. Hors, là apparaît dix garçons. Elle ne pouvait pas laissé passer l'occasion. -Vous pouvez venir, mais juste une nuit. -Merci ! fit l'un d'eux. Nous vous promettons de ne pas vous déranger. -Il ne faut jamais promettre, lui répondit Amélie. On ne sais pas ce qui peut arriver après. Et elle retourna s'asseoir près du feu. Les garçon s'installèrent, Roxi descendit de la cabane. -T'es malade ou quoi ? demanda t-elle à Amélie. On les connais même pas ! -Et alors ? On a jamais vu personne et eux, ils apparaissent comme ça ! Tu y a pensée ? -Ce n'est pas une raison ! Il … Elle ne termina pas sa phrase, elle venait d'entendre des bruits près du lac. -Waouh ! Le lac de malade ! s'exclama un garçon. -Ça me donne envie de me baigner, fit un autre. -Malheureusement, vous ne pouvez pas, déclara Amélie qui venait d'émerger des buissons avec Roxi. C'est un lac privée. » Le lac était caché derrière les arbres. Une cascade émergeait plus haut. Un rocher servait de plongeoir. C'était le paradis ! Flora aimait beaucoup s'y baigner. En arrivant près d'ici, le lac étais trois fois moins grand. Mais les trois sœur et leur frère en avait pris soin et maintenant il faisait 2 fois leurs campement. « Les gars ! appela quelqu'un. Vous aider à monter les tentes, oui ou non ? -On arrive Morgan ! Amélie se retourna...et se stoppa net. Un garçon aux cheveux brun et au yeux vert se tenait devant eux, agacé. -J'espère bien, répondit t-il. Parce que les tente ne vont pas se monter toute seule. -N'empêche, ce serait bien des tentes automatiques, déclara un garçon derrière Morgan. -Pourquoi ? fit un autre qui montait une tente. C'est trop dur pour toi, de monter des tentes à la main ? -Quand tu dois monter de nuit, oui. Une main se posa sur l'épaule d'Amélie. -Tu viens, fit Roxi, on va se coucher. » Amélie la suivie jusqu'à la cabane et s'enveloppa dans son duvet. * Le lendemain, quand Amélie se leva, les garçons était partis. « Prête ? demanda une voix derrière elle. -Prête à quoi, demanda t-elle à Roxi en se retournant. -Hé bien, pour la journée de la Grande Ours. » La journée de la Grande Ours. Elle l'avait complètement oublié. Pendant cette journée, il était interdit de chasser, car ce jour là était consacré à la chasse de la Grande Ours. Cette dernière était celle qui veillait sur la forêt et ses habitants. Soudain elle réalisa que le garçons n'étaient pas au courant. Elle s'habilla et, accompagné de Snow, fila dans la forêt. Grâce au flair de ce dernier et à l'ouïe fine d'Amélie, ils réussirent à trouver le groupe de garçons. Ils allaient justement tirer sur une gazelle. Snow bondit et prit la flèche qui s’apprêtait à tuer la gazelle. Les garçons surprit se demandais où était passé la flèche. Certain avait pu voir voir une touffe de poil grise mais aucun n'avait pu apercevoir Snow car ce dernier était trop rapide. Amélie émergea de derrière les arbres accompagné de Snow, la flèche dans la gueule. « Vous n'avez pas le droit de chasser, leur dit-elle. -Pourquoi ? demanda un garçon. -Car aujourd'hui, il est interdit de chasser. -Et pourquoi ? -Si vous n'obéissez pas, vous pouvez vous faire bouffer par un animal ou tomber soudainement dans un trou, leur dit-elle en ignorant la question. -Et qu'est ce qui te fais croire qu'on va t'obéir ? -Je vous aurais prévenus. » Snow lâcha la flèche et il prirent le chemin pour retourner au campement. C'était vrai ce qu'elle leur avait dit, la Grande Ourse pouvait tuer ou blessé le malheureux qui avait chassé ce jour là. * Amélie allait chercher des champignons tout en pensant. Roxi adorait cette journée car c'était le jour où on pouvait laisser les animaux tranquille. Mais manger des légume toute la journée n'était pas non plus son truc. Flora, elle, était toute joyeuse car ses frère et sœur ne mangeait pas le poisson et en plus, on mangeait de ses légumes. Laurenzo s'en fichait car seul Snow chassait les oiseaux et aujourd'hui, lui et Griffti ne pouvait pas chasser. Soudain, Amélie se stoppa net. Elle avait entendu quelque chose, elle se rapprocha, écarta les branches d'un arbre et découvrit... les garçons en train de se faire attaquer par des carcajous ! Amélie bondit suivi de Snow. Il se placèrent juste devant les carcajous et montrèrent les crocs( enfin, pour Snow). Le seul garçon encore debout montra lui aussi ses dent. Les carcajous comprenant le message, s'en allèrent. Amélie savait que les carcajous pouvait vous tuer en une minute si vous passiez près de leur territoire. Et souvent, elle les évitaient.
« Heureusement que je vous ai entendu crier pour venir vous sauvez ! déclara t-elle en colère. -On aurait très bien pu s'en sortir sans toi ! répondit l'un d'eux. -Ah oui ? lâcha t-elle. Et comment ? Vous étiez tous par terre ! -On avait un plan, et on l'aurait mis au point si tu n'était pas arrivé ! -A mon avis, vous n'auriez même pas eu le temps ! Vous vous seriez fait bouffer tout cru ! -C'est faux ! -C'est des corps mort et réduit en charpie que j'aurais trouvé si j'étais arrivé une minute après ! Bon, on rentre au campement ! -Pardon ? fit un garçon. -On rentre au campement. -Et qu'est ce qui va te faire que nous allons te suivre ? -Oh, mais vous n'avez pas le choix, répondit-elle d'une voix mielleuse. -On à toujours le choix, rétorqua le garçon. -Bien sûr, si tu veut te faire mordre par un loup, dit-elle en faisant des gestes de la main à Snow qui les comprit. Et le louveteau s'approcha du garçon. -Hou ! J'ai peur.
-Je ne vous laisserait pas détruire la forêt ! Vous avez causés déjà trop d'incident ! Snow se rapprocha jusqu'à être près du garçon. -Si tu crois que je vais me plier à ton chantage ! Tu peux rêver ! Le louveteau lui mordit le bras. Le garçon hurla. -Lâche moi sale bête ! criât le garçon en secouant son bras. Snow le mordit encore plus fort. Le garçon hurla de plus belle. -A ta place, je ne ferais pas ça, déclara Amélie. Puis, se tournant vers les autres : -Bon alors, vous me suivez. -On fait quoi Jim ? demanda un garçon à celui qui était debout. Jim regarda celui qui souffrait de Snow. -Jim... fait... quelque chose. J'ai... mal. Les autre garçons le regardait, de la peur dans les yeux. -Mais arrête ! fit l'un d'eux à Amélie. -S'il... te... plaît... enlève... ce... loup. Amélie eu pitié de lui et s’apprêtait à dire à Snow d'arrêter. -Arrête, c'est bon ! s'exclama Jim. Nous allons te suivre. Je n'ai pas envie de perdre l'un d'eux. -Bien, Snow ! Le louveteau lâcha le bras du garçon et alla se placer à coté d'Amélie. Celle-ci demanda à Snow de se placer derrière, au cas où les garçons voudrais s'enfuir. -On te soignera au campement, déclara t-elle au garçon blessé. Ils rentrèrent sans histoire au campement. Roxi faisait cuir des légumes et Flora se plaisait à la voir faire des grimaces de dégoût. Les deux sœur levèrent la tête à leur arrivé. Roxi fit une tête surprise. -Coucou, fit Amélie. -C'est moi ou il y a des garçons derrière toi ? demanda Roxi. -Il y à bien des garçons derrière moi. -Ah ouai, d'accord, je vois : « Je vais chercher des champignons ! ». Tu en à pris au moins ? -Oups ! J'ai oublié. Mais c'est pas de ma faute ! Ce matin, ils ont failli tuer une gazelle, et là, je les ai trouver en train de se faire attaquer par des carcajous ! Alors j'ai préféré les ramener au campement. -Tu à bien fait ! répondit Roxi en colère. Et en plus, ils ont osé déranger des carcajous ? Amélie hocha la tête avant de montrer le blesser. -Tu peut le soigner ? -Qu'est ce qui lui est arrivé ? -J'ai demandé à Snow de le mordre. Roxi la regarda se demandant si elle avait bien entendu. -Tu à quoi ? -C'était la seule solution pour qu'ils accepte de me suivre. -OK, je m'en occupe. -Et la cuisine ? demanda Flora. -C'est presque cuit, répondit Roxi -Et les champignons ? -Il n'y en aura pas ce soir, déclara Amélie. -Mais c'est pas bon sans champignon ! -Tant pis. - Hé bien j'irai en chercher moi-même. Et elle disparu dans la forêt. -Laurenzo ! appelèrent les sœurs. -Quoi ? -Flora ! dirent-elle en montrant la forêt. -Pff ! Comme si j'avais pas autre chose à faire ! » Et, descendant de la cabane, il parti dans la forêt ensuite. Le silence se rependît dans le campement. Roxi soignait le blessé tandis que Amélie surveillait la nourriture tout en grondant sur Snow qui mourrait d'envie de manger ce qu'il y avait dans la casserole en argile. Amélie le laissa finalement approcher de la casserole et, quand il vit ce qu'il y avait dedans, il n'eut plus du tout envie de le manger. « On devrais peut-être se présenter, proposa l'un des garçons. -Il faudrait que Laurenzo et Flora soit là, répondit Roxi. -Oui, surtout que Laurenzo n'est plus le seule garçon, commenta Amélie. -Sauf que nous, on est trois fille parmi onze garçons. » Amélie s’apprêtait à répondre quand elle entendit un bruit d'en haut. Elle leva la tête et aperçut un aigle qui se rapprochait dangereusement. Quand il fut tout près, elle remarqua que Laurenzo tenait GRIFFTI par les serres et que Flora tenait les jambes de son frère et grondait ce dernier. Laurenzo se mit à battre des jambes, ce qui fit lâcher prise à sa sœur. Il lâcha les serres de son aigle tandis que ce dernier rattrapait Flora en plein vol. Laurenzo retomba sans problème sur le sol. « Laurenzo, t'a décider de l'accompagner cueillir des champignons ? -Non, désolé. Sans faire exprès, j'ai marché sur les serres de Griffti. Du coup Flora nous à repérés quand l'aigle à poussé un cri de douleur. Et pendant qu'elle me criait dessus, il est allé cherché des champignons. Puis il nous à ramené ici. L'aigle se rapprocha, se rapprocha, puis il fut assez près du sol pour que Flora mange la terre. Griffti, content de lui, la laissa se relever et s'installa près de Laurenzo. -Chrétin d'aigle, dit-elle en crachant la terre qu'elle avait dans la bouche. Tu voulais me c'uer, ch'est cha ? -Il dit que non, il n'a pas voulu te tuer, mais que ça l'amusait de venger son frère, répondit Laurenzo, traduisant ce que lui avait dit Griffti, tandis que Flora se rinçait la bouche. -Ah oui ? Eh bien, il va voir comme je vais m'amuser à le déplumer ! L'aigle se cacha dans les jambes de Laurenzo. -Holà ! cria Roxi. On a pas pas le droit de tuer aujourd'hui. Et je n'ai pas envie d'avoir un autre blessé à soigner. Flora regarda l'aigle d'un air menaçant, puis la petite brune s'assied près du feu. Ses deux tresses de chaque coté donnait l'impression de brûler tellement elle était proche du feu. Ses yeux vert disent que c'est l'été. -Bon, maintenant que tous le monde est là, je crois qu'on peut se présenté,commença Amélie pour calmer les choses. Je m'appelle Amélie, voici mon frère Laurenzo et mes deux sœur, Roxi et Flora . Et voici Snow et Griffti. -Moi c'est Sonny, se présenta un garçon , et voici Théo. Sonny était blond avec des yeux bleus et devait avoir le même age qu'Amélie. Théo était brun et avait les yeux marron. -Moi c'est Julius(prononcer jou-lious) »fit le garçon blessé. Il avait des cheveux brun qui s'arrêtait aux épaules et il avait les yeux bleu. Il devait avoir l'âge de Roxi. Un garçon aux cheveux noir tombant jusqu'aux épaules et aux yeux vert se présenta à son tour. « Je m'appelle Robin et j'ai 14 ans. -Moi, c'est Morgan. Amélie ne pouvait plus détourner le regard. -Ça va ? demanda Flora. Amélie se ressaisit. Après tout, ce n'étais qu'un garçon. -Oui, ça va, répondit-elle. -Moi c'est Noé et lui c'est Lilian, dit un autre garçon. Il avait les cheveux bruns tirant sur le roux et les yeux vert. Lilian avait les cheveux bruns. Il avait une frange bouclé et le reste de ses cheveux lisses. Il avait les yeux marrons. Tous deux avait l'age de Roxi. -Je m'appelle Nicolas. Voici Julien et enfin, Jim. Nicolas était brun avec les yeux bleus. Julien, lui, était roux et avait les yeux marrons. Quand à Jim, il était brun avec les yeux marrons foncés presque Noir. Il avait l'air d'être l’aîné. -Bon pour fêter ça, si on chantait ? demanda Sonny. Voici venue, le temps, des rires et des chants, sur l'île aux enfants, c'est tous les jours le printemps. C'est le pays, joyeux, des enfants heureux, des monstres gentils, oui c'est un paradis.(Casimir) -Quand Sonny chante, chuchota Lilian, court. -Pourquoi ? demanda Amélie. Il chante si mal que ça ? -Non, on le taquine, avoua Robin. En fait il chante bien. On peut même dire qu'il chante super bien. Mais parfois, il chante alors que ce n'est pas le moment. En gros, il chante dès qu'il en as envie. C'est sa passion. Mais le mieux, c'est quand il chante en jouant de la guitare. -De la quoi ? -Regarde. Sonny prit un petit instrument en bois. D'abord arrondi, le bout était plus fin. Il se mit à en gratter les cordes. -A table ! cria Roxi. Ils s'installèrent autour du feu tandis que Sonny jouait et chantait. Roxi servit la nourriture. -Heurk ! s'exclama Julius. Qu'est ce que c'est ? -Cela s'appelle des légumes, répondit Roxi d'un air ironique. -Ah ! Mais t'a vu les champignons! Ils sont mauvais ! Ils sont venimeux! T'avale ça, tu vomis, t'a super mal au ventre, tu as mal à la tête ! Petit à petit, tu ne marche plus, tu perd tes cheveux, tu as la paralysie ! Tu devient sourd, muet et aveugle ! Roxi se stoppa net, sa cuillère devant sa bouche. -C'est pas... fit Flora terrorisé. Tous regardèrent Julius. Ce dernier se mit a rire. -Pff, ah ah ah ! Vous auriez vu vos tête ! Trop drôle ! Il se roula par terre. -C'est pas drôle ! s'énerva Roxi. Tous les garçons se regardèrent, amusés. -J'en était sûr ! cria Flora. Ces champignons sont bon pour la santé. -Julius adore faire des blagues, chuchota Robin. -Quel genre de blague ? demanda Amélie -Tous les genres. -D’ailleurs, si il veut se venger de toi, lui apprit Lilian, il te fera sûrement une blague. « Holà ! pensa Amélie. Ça veut tout dire. » -Faire des blagues, c'est sa passion. Il adore faire rire, dit Robin. -Théo adore guider. C'est lui qui nous guides. Si jamais tu choisis un chemin et qu'il en choisis une autre, surtout ne le contredit pas. Il risquerait de t'abandonner en cour de route, expliqua Lilian. -OK, message reçu. -Jim assure dans la discrétion. -Il nous répète que la discrétion es t le meilleure ami de l'homme. » Amélie retient ses informations et finit de boire son potage tout en écoutant Sonny. * Sonny à joué toute la soirée. Flora avait été se coucher en première. Suivi par Laurenzo et Griffti. Roxi s'est approché d'Amélie. « T'es pas fatigué ? lui à t-elle demandé. -Si. -Tu viens te coucher ? -Ouais » à répondu Amélie en baillant. Et elles sont allés se coucher.